L'hypotension artérielle correspond à une pression artérielle trop basse. Il s'agit d'un symptôme pouvant avoir différentes causes (hypotension causes).
Par conséquent, différents traitements peuvent être proposés.
Définition et types d'hypotension artérielle
Dans certains cas, une tension trop basse entraine des symptômes gênants.
Alors qu'il existe des normes claires pour définir l'hypertension artérielle, il en est autrement pour l'hypotension. En général, les médecins estiment que plus la tension est basse, mieux l'on est protégé contre les risques cardiovasculaires.
L'hypotension est définie par une pression du sang trop faible dans les vaisseaux. Cela peut être problématique lorsque le cerveau, le cœur et les autres organes ne reçoivent pas assez de sang.
Il y a trois principaux types d'hypotension :
- l'hypotension orthostatique, comprenant l'hypotension postprandiale,
- l'hypotension d'origine neurologique,
- l'hypotension grave consécutive à d'importantes pertes de sang.
Fréquence de l'hypotension artérielle
Il est difficile d'estimer la prévalence de l'hypotension, car il n'existe pas de valeurs de pression artérielle en dessous desquelles on est « hypotendu ».
En effet, certaines personnes ont une tension très faible, mais se portent très bien. Les sportifs, par exemple, ont souvent une tension plus faible que les autres, ce qui se traduit par une meilleure santé cardiovasculaire.
Dans la plupart des cas, la pression artérielle normale est comprise entre :
- 60 et 90 mmHg pour la pression diastolique (lorsque le cœur se relâche),
- 80 et 130 mmHg pour la pression systolique (lorsque le cœur se contracte).
Une baisse importante de tension (environ 20 mmHg) peut entrainer des symptômes gênants, comme des malaises.